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res non recīpit cunctationem L

  • 1 recipio

    cēpī, ceptum, ere [re + capio ]
    1)
    2) обращать назад ( gressum ad limĭna V); уводить ( milĭtes Cs); отводить, обратно стягивать (copias in oppidum L); отпускать, освобождать ( aliquem ex servitute L)
    3)
    а) возвр.
    se r. — возвращаться (е Siciliā C; incivitatem Ap — ср. 8.)
    signo recipiendi dato Cs — по сигналу, данному к отступлению
    б) вновь обращаться (ad bonam frugem C; a voluptatibus in otium PJ)
    4)
    se r. (реже r.) — отступать (se r. in silvas Cs)
    5) оставить за собой, выговорить себе, обусловить ( aliquid sibi C)
    7) вновь обретать ( rem amissam L); вновь овладевать (r. urbem L); завладевать, завоёвывать, захватывать ( rem publicam armis Sl)
    se r. или animum r. L — вновь прийти в себя, овладеть собой, воспрянуть духом
    se r. ex terrore Cs (ex и a pavōre L) — оправиться от страха
    8) принимать (aliquem in ordinem senatorium C; aliquem domum suam C; aliquem in amicitiam Sen); впускать ( aliquemfinibus или intra fines Cs); принимать внутрь (sc. medicamenta Scr etc.); получать ( pecunias ex vectigalibus C); допускать, терпеть ( res non recīpit cunctationem L)
    poenas ab aliquo r. V — наказывать кого-л. или мстить кому-л.
    sinu gremioque, тж. sinu complexuque r. Cпринять с распростёртыми объятиями
    r. aliquem sessum C — усадить кого-л. (рядом с собой)
    r. in parem juris libertatisque condicionem Csуравнять в правах
    r. aliquem civitate и in civitatem C — присвоить кому-л. права гражданства, но
    civitatem r. aliquos Cs — принять кого-л. в подданство (ср. тж. 3.)
    scriptores receptissimi Sol — наиболее общепризнанные писатели, т. е. классики
    cicatrīcem r. CC (о ране) — зарубцовываться, заживать
    nomen alicujus r. C — принять жалобу на кого-л.
    aliquem reum (или inter reos) r. T — посадить кого-л. на скамью подсудимых
    causam alicujus r. C — при пять на себя чьё-л. дело
    9) обещать, сулить, ручаться, гарантировать, обязываться ( alicui aliquid или de aliquā re C)
    aliquid pro aliquo r. C — поручиться в чём-л. за кого-л.
    fidem alicui r. C — дать кому-л. клятвенное заверение

    Латинско-русский словарь > recipio

  • 2 recipio

    rĕcĭpĭo, ĕre, cēpi, ceptum [re + capio] - tr. -    - voir receptus. [st1]1 [-] reprendre, recouvrer, retrouver, prendre possession de, occuper.    - anhelitum (spiritum, animam) recipere: reprendre son souffle, sa respiration, reprendre haleine.    - libertatem recipere, Cic.: recouvrer la liberté.    - animum (mentem) recipere: reprendre courage.    - Calenus Delphos, Thebas et Orchomenum voluntate ipsarum civitatium recepit, Caes.: Calénus prit possession de Delphes, de Thèbes et d'Orchomène avec l'assentiment des cités elles-mêmes.    - a tanto pavore recipere animos, Liv. 21, 5, 16: se remettre d'une si grande frayeur.    - recipere vires corporis: retrouver ses forces. [st1]2 [-] prendre de son côté, prendre par représaille, s'emparer de; tirer de, retirer de.    - ad recipiendas Asiae civitates, Just.: pour s'emparer des villes d'Asie.    - recipere quaestus, Cic.: s'enrichir.    - recipere pecuniam ex melle, Varr.: retirer un revenu de son miel.    - poenas ab aliquo recipere, Virg.: tirer vengeance de qqn, se venger de qqn. [st1]3 [-] retirer, tirer à soi, reprendre, ramener, faire revenir.    - recipere sagittam, Cels.: extraire une flèche.    - recipere ensem, Virg.: retirer l'épée (du corps).    - (ensem) multa morte recepit (= retraxit), Virg.: il retira (l'épée) quand il fut bien mort.    - recipere aliquem ex hoste, Virg.: soustraire qqn à l'ennemi. [st1]4 [-] recevoir (qqn), accueillir; accepter, admettre, approuver; recevoir, subir (qqch); recevoir (dans le corps), enfoncer.    - recipere domum ad se hospitio, Caes. B. C. 2, 20: recevoir chez soi à titre d'hôte.    - recepto sospite filio, victoriae tantae gaudium consul sensit, Liv. 45: après avoir reçu son fils sain et sauf, le consul ressentit la joie d'une si grande victoire.    - aliquem ad epulas recipere: recevoir qqn à table.    - aliquem mensā recipere, Cic.: admettre qqn à sa table.    - recipere in custodiam, Plaut.: prendre sous sa protection.    - recipere aliquam in matrimonium: épouser une femme.    - recipere in deditionem: recevoir la capitulation.    - recipere in civitatem: recevoir parmi les citoyens.    - in societatem eum recepit: il le reçut comme allié.    - non Caesaris quemquam alium dorso recipiebat equus, Caes.: le cheval de César ne se laissait monter par personne d'autre (que lui).    - recipe ferrum, Cic.: reçois le fer, laisse-toi égorger (en parl. d'un gladiateur vaincu dans l'arène).    - recipere fabulas, Cic.: admettre des fables, ajouter foi à des fables.    - dolia quae recipiant oleas, Col.: des tonneaux pour recevoir les olives (pour contenir les olives).    - timor misericordiam non recipit, Caes. B. G. 7, 26: la crainte n'admet pas la pitié.    - potio quae recipit... Col.: [breuvage qui reçoit...] = breuvage composé de...    - recipit haec... Scrib.: voici ce que contient (le médicament), voici la recette (du médicament).    - recipere assentationem, Cic.: admettre la flatterie, être accessible à la flatterie.    - recipere emendationem, Quint.: admettre la correction, être susceptible de correction.    - nec deprecor jam, si nefaria scripta Sesti recepso (= recepero), quin gravedinem et tussim non mihi, sed ipsi Sestio ferat frigus, Cat.: et je consens désormais, si j'accueille les écrits néfastes de Sestius, que leur froideur donne le rhume et la toux, non pas à moi, mais à Sestius en personne. [st1]5 [-] se recipere.    - se recipere: - [abcl]a - rentrer, revenir, se retirer, battre en retraite, se replier. - [abcl]b - avec ex + abl. - se remettre de, se ressaisir, se reprendre.    - se recipere ex eo loco, Plaut. Aul. 4, 8, 10: se retirer de cet endroit, se sauver de cet endroit.    - Caesar persequendum sibi Pompeium existimavit, quascumque in partes se ex fuga recepisset, Caes. BC. 3, 102: César jugea bon de devoir poursuivre Pompée quelque fût l'endroit où il se serait retiré après sa fuite.    - hostes proelio superati, simul atque se ex fuga receperunt, statim ad Caesarem legatos de pace miserunt, Caes. BG. 4, 27: les ennemis vaincus, dès qu'ils se furent ressaisis après leur fuite, envoyèrent aussitôt des légats pour négocier la paix auprès de César.    - se recipere e Siciliâ, Cic. Brut. 92, 318: revenir de Sicile.    - se recipere ad suos, Caes. BG. 1, 46: revenir auprès des siens.    - se recipere ad oppidum llerdam, Caes. BC. 1, 45: se replier vers la place forte d'Ilerda.    - sui recipiendi facultas, Caes. BG. 3, 4: la possibilité de battre en retraite.    - se recipere ad signa, Caes. BG. 5, 34: se rallier autour des enseignes.    - se recipere ad aliquem: se réfugier près de qqn, chercher asile près de qqn.    - se recipere ab undis, Virg.: se sauver du naufrage.    - priusquam se hostes ex terrore ac fuga reciperent, Caes. BG. 2: avant de voir les ennemis se remettre de leur terreur et de leur fuite.    - ut me recepi, Cic.: dès que j'eus repris mes esprits.    - qqf. recipere = se recipere.    - rursum in portum recipimus, Plaut. Bacch. 2, 3, 60: nous rentrons dans le port.    - signo recipiendi dato consistere, Caes.: s'arrêter au signal de la retraite.    - neque sepulcrum, quo recipiat, habeat portum corporis, Enn. ap. Cic. Tusc. 1, 44, 107: qu'il n'ait pas de tombeau, abri du corps, où il puisse se remettre de ses malheurs. [st1]6 [-] garder, retenir, réserver pour soi (dans un contrat, une vente).    - posticulum hoc recepit, quom aedis vendidit, Plaut. Trin. 1, 2, 157: il s'est gardé cette petite pièce de derrière quand il a vendu la maison.    - recipere rem in venditionibus, Cic.: se réserver une chose dans une vente.    - aqua domini usioni recipitur, Cato.: le maître se réserve l'eau pour son usage.    - bubus binis domino pascere recipitur, Cato.: le maître garde le droit de pacage pour une paire de boeufs. [st1]7 [-] prendre sur soi, entreprendre, admettre, se charger de, s'engager à, répondre (d'une chose), garantir, promettre.    - ad me recipio, faciet, Ter.: j'en réponds, il le fera.    - recipere nomen: recevoir le nom d'une personne (en parl. du préteur), recevoir une accusation, déclarer une accusation recevable. [] deferre nomen: rejeter une accusation.    - recipere aliquem reum (aliquem inter reos): recevoir une accusation contre qqn.    - recipere nomen absentis, Cic.: déclarer recevable une plainte contre un absent.    - recipere causam, Cic.: se charger d'une cause.    - recipere domum custodiendam, Liv.: se charger de la garde d'une maison.    - recipere alicui + prop. inf.: promettre à qqn de, promettre à qqn que.
    * * *
    rĕcĭpĭo, ĕre, cēpi, ceptum [re + capio] - tr. -    - voir receptus. [st1]1 [-] reprendre, recouvrer, retrouver, prendre possession de, occuper.    - anhelitum (spiritum, animam) recipere: reprendre son souffle, sa respiration, reprendre haleine.    - libertatem recipere, Cic.: recouvrer la liberté.    - animum (mentem) recipere: reprendre courage.    - Calenus Delphos, Thebas et Orchomenum voluntate ipsarum civitatium recepit, Caes.: Calénus prit possession de Delphes, de Thèbes et d'Orchomène avec l'assentiment des cités elles-mêmes.    - a tanto pavore recipere animos, Liv. 21, 5, 16: se remettre d'une si grande frayeur.    - recipere vires corporis: retrouver ses forces. [st1]2 [-] prendre de son côté, prendre par représaille, s'emparer de; tirer de, retirer de.    - ad recipiendas Asiae civitates, Just.: pour s'emparer des villes d'Asie.    - recipere quaestus, Cic.: s'enrichir.    - recipere pecuniam ex melle, Varr.: retirer un revenu de son miel.    - poenas ab aliquo recipere, Virg.: tirer vengeance de qqn, se venger de qqn. [st1]3 [-] retirer, tirer à soi, reprendre, ramener, faire revenir.    - recipere sagittam, Cels.: extraire une flèche.    - recipere ensem, Virg.: retirer l'épée (du corps).    - (ensem) multa morte recepit (= retraxit), Virg.: il retira (l'épée) quand il fut bien mort.    - recipere aliquem ex hoste, Virg.: soustraire qqn à l'ennemi. [st1]4 [-] recevoir (qqn), accueillir; accepter, admettre, approuver; recevoir, subir (qqch); recevoir (dans le corps), enfoncer.    - recipere domum ad se hospitio, Caes. B. C. 2, 20: recevoir chez soi à titre d'hôte.    - recepto sospite filio, victoriae tantae gaudium consul sensit, Liv. 45: après avoir reçu son fils sain et sauf, le consul ressentit la joie d'une si grande victoire.    - aliquem ad epulas recipere: recevoir qqn à table.    - aliquem mensā recipere, Cic.: admettre qqn à sa table.    - recipere in custodiam, Plaut.: prendre sous sa protection.    - recipere aliquam in matrimonium: épouser une femme.    - recipere in deditionem: recevoir la capitulation.    - recipere in civitatem: recevoir parmi les citoyens.    - in societatem eum recepit: il le reçut comme allié.    - non Caesaris quemquam alium dorso recipiebat equus, Caes.: le cheval de César ne se laissait monter par personne d'autre (que lui).    - recipe ferrum, Cic.: reçois le fer, laisse-toi égorger (en parl. d'un gladiateur vaincu dans l'arène).    - recipere fabulas, Cic.: admettre des fables, ajouter foi à des fables.    - dolia quae recipiant oleas, Col.: des tonneaux pour recevoir les olives (pour contenir les olives).    - timor misericordiam non recipit, Caes. B. G. 7, 26: la crainte n'admet pas la pitié.    - potio quae recipit... Col.: [breuvage qui reçoit...] = breuvage composé de...    - recipit haec... Scrib.: voici ce que contient (le médicament), voici la recette (du médicament).    - recipere assentationem, Cic.: admettre la flatterie, être accessible à la flatterie.    - recipere emendationem, Quint.: admettre la correction, être susceptible de correction.    - nec deprecor jam, si nefaria scripta Sesti recepso (= recepero), quin gravedinem et tussim non mihi, sed ipsi Sestio ferat frigus, Cat.: et je consens désormais, si j'accueille les écrits néfastes de Sestius, que leur froideur donne le rhume et la toux, non pas à moi, mais à Sestius en personne. [st1]5 [-] se recipere.    - se recipere: - [abcl]a - rentrer, revenir, se retirer, battre en retraite, se replier. - [abcl]b - avec ex + abl. - se remettre de, se ressaisir, se reprendre.    - se recipere ex eo loco, Plaut. Aul. 4, 8, 10: se retirer de cet endroit, se sauver de cet endroit.    - Caesar persequendum sibi Pompeium existimavit, quascumque in partes se ex fuga recepisset, Caes. BC. 3, 102: César jugea bon de devoir poursuivre Pompée quelque fût l'endroit où il se serait retiré après sa fuite.    - hostes proelio superati, simul atque se ex fuga receperunt, statim ad Caesarem legatos de pace miserunt, Caes. BG. 4, 27: les ennemis vaincus, dès qu'ils se furent ressaisis après leur fuite, envoyèrent aussitôt des légats pour négocier la paix auprès de César.    - se recipere e Siciliâ, Cic. Brut. 92, 318: revenir de Sicile.    - se recipere ad suos, Caes. BG. 1, 46: revenir auprès des siens.    - se recipere ad oppidum llerdam, Caes. BC. 1, 45: se replier vers la place forte d'Ilerda.    - sui recipiendi facultas, Caes. BG. 3, 4: la possibilité de battre en retraite.    - se recipere ad signa, Caes. BG. 5, 34: se rallier autour des enseignes.    - se recipere ad aliquem: se réfugier près de qqn, chercher asile près de qqn.    - se recipere ab undis, Virg.: se sauver du naufrage.    - priusquam se hostes ex terrore ac fuga reciperent, Caes. BG. 2: avant de voir les ennemis se remettre de leur terreur et de leur fuite.    - ut me recepi, Cic.: dès que j'eus repris mes esprits.    - qqf. recipere = se recipere.    - rursum in portum recipimus, Plaut. Bacch. 2, 3, 60: nous rentrons dans le port.    - signo recipiendi dato consistere, Caes.: s'arrêter au signal de la retraite.    - neque sepulcrum, quo recipiat, habeat portum corporis, Enn. ap. Cic. Tusc. 1, 44, 107: qu'il n'ait pas de tombeau, abri du corps, où il puisse se remettre de ses malheurs. [st1]6 [-] garder, retenir, réserver pour soi (dans un contrat, une vente).    - posticulum hoc recepit, quom aedis vendidit, Plaut. Trin. 1, 2, 157: il s'est gardé cette petite pièce de derrière quand il a vendu la maison.    - recipere rem in venditionibus, Cic.: se réserver une chose dans une vente.    - aqua domini usioni recipitur, Cato.: le maître se réserve l'eau pour son usage.    - bubus binis domino pascere recipitur, Cato.: le maître garde le droit de pacage pour une paire de boeufs. [st1]7 [-] prendre sur soi, entreprendre, admettre, se charger de, s'engager à, répondre (d'une chose), garantir, promettre.    - ad me recipio, faciet, Ter.: j'en réponds, il le fera.    - recipere nomen: recevoir le nom d'une personne (en parl. du préteur), recevoir une accusation, déclarer une accusation recevable. [] deferre nomen: rejeter une accusation.    - recipere aliquem reum (aliquem inter reos): recevoir une accusation contre qqn.    - recipere nomen absentis, Cic.: déclarer recevable une plainte contre un absent.    - recipere causam, Cic.: se charger d'une cause.    - recipere domum custodiendam, Liv.: se charger de la garde d'une maison.    - recipere alicui + prop. inf.: promettre à qqn de, promettre à qqn que.
    * * *
        Recipio, recipis, pen. corr. recepi, pen. prod. receptum, recipere, Ex re et capio. Plin. iunior. Reprendre.
    \
        Fraenum recepit equus. Horat. A receu le mords, et s'est laissé brider.
    \
        Animam recipere. Quintil. Reprendre son haleine.
    \
        Recipere animum vel animos a vel ex pauore. Liu. Reprendre courage.
    \
        Ossa receperunt frigus. Ouid. Ont receu.
    \
        Recipere vrbem aliquam. Cic. La recouvrer.
    \
        Poenas ab aliquo recipere. Virgil. Se venger d'aucun, Punir aucun.
    \
        Recipere se in aliquem locum. Cic. S'y retirer.
    \
        Percunctatum ibo ad portum quoad se recipiat. Terent. Quand c'est qu'il retournera, ou reviendra.
    \
        Recipere se ad aliquem fuga. Caes. S'enfuir vers aucun.
    \
        Recipe te ad me. Plaut. Viens vers moy.
    \
        Recipere se ad coenam ad aliquem. Plautus. Aller soupper chez luy.
    \
        Ad diem se recipere. Cic. Retourner au jour dict.
    \
        Recipe te ad dominum domum. Plaut. Retourne t'en, ou retire toy vers, etc.
    \
        Domum se recipere. Terent. S'en retourner, ou Se retirer en la maison.
    \
        Recipio tempore me domo. Cic. Je sors de la maison.
    \
        Gressum recipere ad limina. Virg. Retourner à la maison.
    \
        Ex loco aliquo se recipere. Cic. S'en aller d'un lieu.
    \
        Ex opere se recipere. Plaut. Retourner de la besongne.
    \
        In portum se recipere. Cicero. Se sauver au port, et se mettre en seureté.
    \
        Ad frugem se recipere. Cic. Devenir homme de bien.
    \
        Ad ingenium suum se recipere. Plaut. Retourner à sa maniere de vivre, ou à sa nature, à son naturel.
    \
        Recipere. Cic. Reprendre courage, Revenir à soy.
    \
        Recipere se in principem. Plin. iunior. Reprendre son authorité de prince.
    \
        Recipere in tutelam. Plin. iunior. Prendre en sa sauvegarde.
    \
        Recipere sinu. Cic. Mettre en son sein.
    \
        Recipere in aures. Plaut. Ouyr.
    \
        Austeritatem recipere dicuntur vina annis. Plin. Devenir aspres par succession de temps.
    \
        Non recipit cunctationem haec res. Liuius. Il ne fault point delayer ne tarder de faire ceci, Ceci ne recoit point de delay.
    \
        Detrimentum recipere. Caesar. Recevoir dommage.
    \
        Incrementum recipere. Colum. Croistre.
    \
        Sonum recipiunt aures. Cic. Recoyvent.
    \
        Recipere aliquem. Cic. Recevoir en sa maison.
    \
        Recipere aliquem mensa, lare, tecto, etc. Liu. Cic. Luy bailler à manger, et le loger, Le recevoir en son logis, et à sa table.
    \
        Recipere ciuitate. Cic. Faire bourgeois.
    \
        Recipere in sedem, et Recipere dorso dicitur equus hominem. Plin. Quand un cheval se laisse chevaucher.
    \
        In amicitiam recipere. Cic. Prendre amitié avec aucun, L'aimer, Recevoir aucun en son amitié.
    \
        In deditionem recipere. Caes. Prendre à merci.
    \
        Recipi ad deos. Liu. Estre receu par les dieux en leur nombre.
    \
        Aliquem in familiaritatem recipere. Cic. Prendre accoinctance avec aucun.
    \
        Ciuitatem in fidem recipere. Cic. Recevoir en sa sauvegarde.
    \
        In gratiam recipere. Cic. Aimer aucun, et le recevoir en sa bonne grace, Le prendre en grace.
    \
        Recipere seruum. Vlpian. Receler et recueillir.
    \
        Recipere. Plaut. Excepter et se reserver quelque chose, quand on vend quelque heritage, ou maison.
    \
        Medio ex hoste recepi. Virgil. Je l'ay sauvé et delivré du milieu des ennemis, Je l'ay rescoux des mains de ses ennemis.
    \
        In tutum recipi. Liu. Estre mis en sauveté.
    \
        Aliquem in periculo recipere. Vatinius Ciceroni. Le retirer à soy.
    \
        Nomen absentis recipere. Cic. Recevoir un accusateur à deferer et poursuyvre aucun absent et hors du pays.
    \
        Recipere corpore telum. Virgil. Tirer hors du temps.
    \
        Recipere. Cic. Promettre de faire quelque chose, S'en charger et prendre sur soy.
    \
        Recipere ad se. Plaut. Prendre sur soy quelque affaire.
    \
        - ad me recipio, Faciet. Terent. Il le fera, je le prens sur moy, Je vous promets qu'il le fera, Je le prens à ma charge.
    \
        Recipere causam capitis. Cic. Prendre à defendre quelque cas criminel, Plaider pour aucun, et le defendre en matiere criminelle.
    \
        Recipere mandatum. Cic. Se charger des affaires d'autruy à son mandement.
    \
        Receptum officium persoluere. Cic. S'aquicter de la charge qu'on a prinse.
    \
        Recipere onus aliquod. Cic. Prendre quelque charge.
    \
        Saluum fore recipio. Vlpian. Je le prens à mes perils et fortunes, Je le prens à ma charge.
    \
        Si reciperes te correcturum. Cecinna. Si tu promettois de la corriger.
    \
        Vt mihi coram recepisti. Cic. Comme tu m'as promis en ma presence.
    \
        Recipere et Respuere, contraria. Quintil. Prendre en gré, Accepter, Avoir pour aggreable.
    \
        Vsus recepit. Quintil. L'usage l'a receu et approuvé.
    \
        Cognoscere et recipere. Cic. Recevoir et approuver.
    \
        Recipi in cibum, vel in mensas, dicitur herba, vel auis, quum recipitur pro cibo. Plin. Quand on en mange.
    \
        Recipere in mores. Quintil. Recevoir une maniere de faire.
    \
        Receptum est, Impersonale. Quintil. C'est une chose approuvee et receue.

    Dictionarium latinogallicum > recipio

  • 3 recipio

    rĕ-cĭpĭo, cēpi, ceptum, 3 ( fut. apoc. recipie, for recipiam, Cato ap. Fest. p. 138 and 236 Müll.; v. dico init.:

    recepso, for recepero,

    Cat. 44, 19), v. a. [capio].
    I.
    To take back, get back, bring back; to retake, regain, recover.
    A.
    Lit. (very freq. and class.):

    dandis recipiendisque meritis,

    Cic. Lael. 8, 26:

    tu me sequere ad trapezitam... recipe actutum,

    Plaut. Curc. 5, 3, 49 (just before, ni argentum refers); cf.:

    centum talenta et credidisse eos constat, et non recepisse,

    Quint. 5, 10, 111; and (opp. mutuum dare) Mart. 3, 40, 4:

    si velit suos recipere, obsides sibi remittat,

    Caes. B. G. 3, 8 fin.:

    obsides,

    Suet. Aug. 21:

    reges,

    Liv. 2, 15:

    recepto amico,

    Hor. C. 2, 7, 27; 4, 2, 47. — Freq. of places, etc., once captured and lost, to retake:

    cum Tarento amisso... aliquot post annos Maximus id oppidum recepisset... nunquam ego (Tarentum) recepissem, nisi tu perdidisses,

    Cic. de Or. 2, 67, 273; cf. id. Sen. 4, 11:

    Lavinium,

    Liv. 2, 39;

    so of other things: recipere suas res amissas,

    Liv. 3, 63:

    praeda omnis recepta est,

    id. 3, 3:

    signa, quae ademerant Parthi,

    Suet. Tib. 9:

    arma,

    Liv. 9, 11; Curt. 4, 12, 17: pectore in adverso totum cui comminus ensem Condidit assurgenti, et multā morte recepit, drew out again, = retraxit, Verg. A. 9, 348; so,

    sagittam ab alterā parte,

    Cels. 7, 5, 2: suos omnes incolumes receperunt (sc. ex oppido in castra), drew off, withdrew, = reduxerunt, Caes. B. G. 7, 12 fin.; so,

    milites defessos,

    id. B. C. 1, 45 fin.:

    exercitum,

    Liv. 10, 42:

    equitatum navibus ad se intra munitiones,

    Caes. B. C. 3, 58:

    illum ego... medio ex hoste recepi,

    bore away, rescued, Verg. A. 6, 111.—
    b.
    With se, to draw back, withdraw from or to any place, to betake one ' s self anywhere; in milit. lang., to retire, retreat:

    se ex eo loco,

    Plaut. Aul. 4, 8, 10; cf.:

    se e fano,

    id. Poen. 4, 1, 5:

    se ex opere,

    id. Men. 5, 3, 7:

    se ex hisce locis,

    Cic. Verr. 2, 4, 10, § 21:

    se e Siciliā,

    id. Brut. 92, 318:

    se ex fugā,

    Caes. B. G. 7, 20 fin.; id. B. C. 3, 102:

    se inde,

    id. B. G. 5, 15:

    se hinc,

    id. B. C. 1, 45 et saep.:

    recipe te,

    Plaut. Trin. 4, 3, 8:

    se,

    Cic. Off. 3, 10, 45 (just before, reverti); Caes. B. C. 3, 45 (coupled with loco excedere); 3, 46; cf.:

    sui recipiendi facultas,

    id. B. G. 3, 4 fin.; 6, 37;

    for which: se recipiendi spatium,

    Liv. 10, 28:

    recipe te ad erum,

    Plaut. Trin. 4, 3, 20:

    se ad dominum,

    id. ib. 4, 3, 1:

    se ad nos,

    Cic. Att. 4, 15, 2:

    se ad suos,

    Caes. B. G. 1, 46; 7, 82; id. B. C. 3, 38; 3, 50; 3, 52 fin.:

    se ad Caesarem (Allobroges, legati),

    id. B. G. 1, 11; 4, 38:

    se ad agmen,

    id. ib. 7, 13; id. B. C. 3, 75 fin.:

    se penitus ad extremos fines,

    id. B. G. 6, 10:

    se ad legionem,

    id. ib. 7, 50 fin.:

    se ad oppidum llerdam,

    id. B. C. 1, 45:

    se ad ordines suos,

    id. ib. 2, 41:

    se ad signa,

    id. B. G. 5, 34 fin.; id. B. C. 1, 43 fin.:

    se a pabulo ad stabulum,

    Plaut. Mil. 2, 3, 33:

    inde se in currus,

    Caes. B. G. 4, 33 fin.:

    se ex castris in oppidum,

    id. B. C. 2, 35:

    se in castra,

    id. B. G. 2. 11 fin.; 2, 24; 3, 6; 3, 26 fin.;

    4, 15 et saep.: se in fines,

    id. ib. 4, 16:

    se in Galliam,

    id. ib. 4, 19 fin.:

    se in montem,

    id. ib. 1, 25: se in antiquas munitiones, id. B. C. 3, 54 fin.:

    se in silvas ad suos,

    id. B. G. 2, 19:

    se in castra ad urbem,

    id. B. C. 2, 25; 2, 26; cf.:

    se retro in castra,

    Liv. 23, 36;

    and with this cf.: sese retro in Bruttios,

    id. 23, 37;

    and so, se, with rursus,

    Plaut. Capt. 1, 2, 25; id. Pers. 4, 5, 6; id. Rud. 4, 6, 19; Caes. B. G. 5, 34 fin.; id. B. C. 2, 41 et saep.:

    se in novissimos,

    Liv. 7, 40:

    se intra munitiones,

    Caes. B. G. 5, 44; cf.:

    se intra montes,

    id. B. C. 1, 65:

    se per declive,

    id. ib. 3, 51:

    se sub murum,

    id. ib. 2, 14:

    se trans Rhenum,

    id. B. G. 6, 41:

    se Larissam versus,

    id. B. C. 3, 97:

    se domum ex hostibus,

    Plaut. Am. 2, 2, 52:

    se domum,

    id. ib. 2, 2, 31; id. Capt. 1, 2, 25; id. Aul. 2, 1, 55:

    se Adrumetum,

    Caes. B. C. 2, 23:

    se Hispalim,

    id. ib. 2, 20:

    se Dyrrhachium ad Pompeium,

    id. ib. 3, 9 fin.:

    se illuc,

    Plaut. Most. 3, 1, 10; id. Merc. 5, 2, 40; id. Ps. 3, 1, 23 al.; cf.:

    se huc esum ad praesepim suam,

    id. Curc. 2, 1, 13:

    se eo,

    Caes. B. G. 1, 25 et saep. — In the same meaning, without se: neque sepulcrum, quo recipiat, habeat portum corporis, Enn. ap. Cic. Tusc. 1, 44, 107 (Trag. v. 415 Vahl.); cf.

    of a military retreat: si quo erat longius prodeundum aut celerius recipiendum,

    Caes. B. G. 1, 48 fin.; so without se after the verbum finitum several times in Plaut.:

    rursum in portum recipimus,

    Plaut. Bacch. 2, 3, 60:

    dum recipis,

    id. Rud. 3, 6, 42:

    actutum face recipias,

    id. Merc. 2, 4, 30. —
    2.
    Transf.
    (α).
    In business lang., to keep back, retain, reserve (cf. Gell. 17, 6, 6):

    posticulum hoc recepit, quom aedis vendidit,

    Plaut. Trin. 1, 2, 157; so in a sale, Crassus ap. Cic. de Or. 2, 55, 226; Cic. Top. 26, 100; Dig. 19, 1, 53; 8, 4, 10: mulier magnam dotem dat et magnam pecuniam recipit, Cato ap. Gell. 17, 6, 8. — With object-clause, Cato, R. R. 149, 2. — With dat.:

    aqua, itinere, actu domini usioni recipitur,

    Cato, R. R. 149, 2.—
    (β).
    To restore (late Lat.):

    urbem munitissimam,

    to fortify anew, Amm. 16, 3, 2. —
    B.
    Trop., to get back, bring back; to receive again, regain, recover:

    ut antiquam frequentiam recipere vastam ac desertam bellis urbem paterentur,

    Liv. 24, 3:

    jus,

    Quint. 5, 10, 118:

    et totidem, quot dixit, verba recepit,

    got back, Ov. M. 3, 384:

    quam (vitam) postquam recepi,

    received again, id. ib. 15, 535: anhelitum, to recover one ' s breath, Plaut. Ep. 2, 2, 21; id. Merc. 3, 4, 16; cf.

    spiritum,

    Quint. 11, 3, 55:

    animam,

    Ter. Ad. 3, 2, 26; Quint. 6, prooem. §

    13: a tanto pavore recipere animos,

    Liv. 21, 5, 16 Weissenb.:

    a pavore animum,

    id. 2, 50, 10:

    e pavore recepto animo,

    id. 44, 10, 1;

    for which: animos ex pavore,

    id. 21, 5 fin.:

    recepto animo,

    Curt. 6, 9, 2; 9, 5, 29:

    animum vultumque,

    Ov. F. 4, 615:

    mente receptā,

    Hor. Ep. 2, 2, 104:

    (vocem) ab acutissimo sono usque ad gravissimum sonum recipere,

    to bring it back, Cic. de Or. 1, 59, 251. —

    In zeugma (cf. I. A. supra): arma et animos,

    Curt. 4, 12, 17.—
    b.
    With se.
    (α).
    To betake one ' s self, withdraw, retire from or to any place:

    ad ingenium vetus versutum te recipis tuum,

    Plaut. As. 2, 1, 7:

    ad frugem bonam,

    Cic. Cael. 12, 28:

    ad reliquam cogitationem belli,

    Caes. B. C. 3, 17 fin.:

    se a voluptatibus in otium,

    Plin. Pan. 82, 8:

    se in principem,

    to resume his princely air, id. ib. 76, 5.— More freq.,
    (β).
    To recover, to collect one ' s self:

    difficulter se recipiunt,

    regain strength, Varr. R. R. 2, 5, 17:

    quae cum intuerer stupens, ut me recepi, Quis hic, inquam, etc.,

    Cic. Rep. 6, 18, 18:

    nullum spatium respirandi recipiendique se dedit,

    Liv. 10, 28:

    se ex terrore ac fugā,

    Caes. B. G. 2, 12:

    se ex timore,

    id. ib. 4, 34:

    se ex fugā,

    id. ib. 4, 27:

    nondum totā me mente recepi,

    Ov. M. 5, 275.
    II.
    (Acc. to re, I. b.) To take to one ' s self, admit, accept, receive; constr. with the simple acc., with ad, or in and acc., in and abl., with simple abl., with a local acc.
    A.
    Lit.
    (α).
    With simple acc.:

    quos homines quondam Laurentis terra recepit, Enn. ap. Prisc. p 762 P. (Ann. v. 35 Vahl.): (ego) excludor, ille recipitur,

    Ter. Eun. 1, 2, 79:

    aliquem,

    Cic. Off. 3, 11, 48:

    hic nulla munitio est, quae perterritos recipiat,

    Caes. B. G. 6, 39; cf.:

    hos tutissimus portus recipiebat,

    id. B. C. 3, 27; 1, 15; cf. id. ib. 3, 11 fin.;

    3, 35: eum Jugurtha accuratissime recepit,

    Sall. J. 16, 3:

    neque quisquam aut expulsus invidiosius aut receptus est laetius,

    Vell. 2, 45, 3; Quint. 7, 1, 14; 9, 2, 89:

    nisi nos vicina Trivici Villa recepisset,

    Hor. S. 1, 5, 80 [p. 1533] et saep.:

    quisnam istic fluvius est, quem non recipiat mare?

    Plaut. Curc. 1, 1, 86; cf. Caes. B. G. 4, 10; and:

    (Peneus) accipit amnem Orcon nec recipit,

    i. e. does not take it to itself, does not mingle with it, Plin. 4, 8, 15, § 31:

    equus frenum recepit,

    received, submitted to, Hor. Ep. 1, 10, 36:

    necesse erat, ab latere aperto tela recipi,

    Caes. B. G. 5, 35. —
    (β).
    With ad:

    recipe me ad te,

    Plaut. Cist. 3, 9; id. Am. 3, 2, 11; id. Rud. 2, 3, 20; id. Ps. 3, 6, 6; Ter. Heaut. 3, 3, 6; Suet. Caes. 63:

    aliquem ad epulas,

    Cic. Top. 5, 25; cf.:

    ad lusum,

    Suet. Ner. 11. —
    (γ).
    With in and acc.:

    recipe me in tectum,

    Plaut. Rud. 2, 7, 16:

    concubinam in aedes,

    id. Mil. 4, 3, 3:

    nos in custodiam tuam,

    id. Rud. 3, 3, 34:

    Tarquinium in civitatem,

    Cic. Rep. 2, 20, 35; id. Balb. 13, 31; Liv. 2, 5; Hor. Ep. 2, 1, 6:

    aliquem in ordinem senatorium,

    Cic. Phil. 7, 5, 15:

    aliquem in fidem,

    id. Fam. 13, 19, 2; id. Att. 15, 14, 3; Caes. B. G. 2, 15; 4, 22:

    aliquem in civitatem,

    Cic. Balb. 12, 29:

    aliquem in caelum,

    id. N. D. 3, 15, 39:

    aliquem in deditionem,

    Caes. B. G. 3, 21 fin.; Liv. 8, 13; Suet. Calig. 14 al.:

    aliquem in jus dicionemque,

    Liv. 21, 61:

    aliquem in amicitiam,

    Sall. J. 14, 5; 5, 4 Kritz N. cr.:

    aliquam in matrimonium,

    Suet. Caes. 50; Just. 9, 5, 9 et saep. —
    (δ).
    With in and abl. (rare and in purely local relations; v. Kritz ad Sall. J. 5, 4):

    aliquem in loco,

    Plaut. Stich. 5, 4, 3:

    loricati in equis recipiuntur, Auct. B. Hisp. 4, 2: sidera in caelo recepta,

    Ov. M. 2, 529 (but in Liv. 24, 32, 6, the correct read. is tuto Hexapylo, without in; v. Weissenb. ad h. l.). —
    (ε).
    With simple abl. (mostly in purely local relations):

    ut tuo recipias tecto servesque nos,

    Plaut. Rud. 1, 5, 18; so,

    aliquem tecto,

    Caes. B. G. 7, 66 fin.:

    exercitum tectis ac sedibus suis,

    Cic. Agr. 2, 33, 90:

    aliquem suis urbibus,

    id. Fl. 25, 61:

    aliquem civitate,

    id. Balb. 14, 32:

    aliquem finibus suis,

    Caes. B. G. 6, 6; 7, 20 fin.:

    aliquem oppido ac portu,

    id. B. C. 3, 12; 3, 102 fin.:

    aliquem moenibus,

    Sall. J. 28, 2:

    Romulus caelo receptus,

    Quint. 3, 7, 5:

    receptus Terra Neptunus,

    Hor. A. P. 63 et saep. —
    (ζ).
    With local acc.:

    me Acheruntem recipere Orcus noluit,

    Plaut. Most. 2, 2, 68:

    aliquem domum suam,

    Cic. Arch. 3, 5; cf.:

    aliquem domum ad se hospitio,

    Caes. B. C. 2, 20.—
    (η).
    Absol.:

    plerosque hi, qui receperant, celant,

    Caes. B. C. 1, 76.—
    2.
    Transf.
    a.
    In business lang., to take in, receive as the proceeds of any thing:

    dena milia sestertia ex melle,

    Varr. R. R. 3, 16, 11:

    pecuniam ex novis vectigalibus,

    Cic. Agr. 2, 23, 62:

    pecunia, quae recipi potest,

    id. ib. 2, 18, 47. —
    b.
    In gladiator's lang.: recipe ferrum, receive your death-blow, the cry of the people to a vanquished gladiator whom they were not inclined to spare, Cic. Sest. 37, 80; id. Tusc. 2, 17, 41 Kühn.; Sen. Tranq. 11, 1;

    for which: totum telum corpore,

    Cic. Rosc. Am. 12, 33; and:

    ense recepto,

    Luc. 2, 194 Corte.—
    c.
    Milit. t. t., to seize, capture, take possession of, occupy: mittit in Siciliam Curionem pro praetore cum legionibus duo;

    eundem, cum Siciliam recepisset, etc.,

    Caes. B. C. 1, 30:

    Praeneste non vi, sed per deditionem receptum est,

    Liv. 6, 29:

    Aegyptum sine certamine,

    Just. 11, 11, 1:

    eo oppido recepto,

    Caes. B. G. 7, 13 fin.:

    civitatem,

    id. ib. 6, 8; 7, 90; id. B. C. 1, 12; 1, 16; 1, 30;

    3, 16: Aetoliam,

    id. ib. 3, 55:

    rempublicam armis,

    Sall. C. 11, 4:

    Alciden terra recepta vocat,

    the subjugated earth, Prop. 5, 9, 38. —
    d.
    In the later medical lang., of medicines, to receive, i. e. be compounded of various ingredients:

    antidotos recipit haec: stoechados, marrubii, etc.,

    Scrib. Comp. 106; so id. ib. 27; 28; 37; 52 al. (hence the mod. Lat. receptum, receipt, and recipe).—
    B.
    Trop.
    1.
    To take to or upon one ' s self, to assume; to receive, accept, admit, allow, endechomai:

    non edepol istaec tua dicta nunc in aures recipio,

    Plaut. Cist. 2, 1, 34; cf. Quint. 11, 1, 91:

    jusjurandum,

    id. 5, 6, 1; 3; cf. id. 7, 1, 24: in semet ipsum religionem recipere, to draw upon one ' s self, Liv. 10, 40:

    quae legibus cauta sunt, quae persuasione in mores recepta sunt,

    admitted, Quint. 5, 10, 13; cf. id. 10, 7, 15:

    antiquitas recepit fabulas... haec aetas autem respuit,

    Cic. Rep. 2, 10; cf. Quint. 6, 4, 19:

    nec inconstantiam virtus recipit nec varietatem natura patitur,

    Cic. Rep. 3, 11, 18; cf. Vell. 2, 130, 3: non recipit istam Conjunctionem honestas, Cic. Off. 3, 33, 119:

    assentatio nocere nemini potest, nisi ei, qui eam recipit atque eă delectatur,

    id. Lael. 26, 97:

    timor misericordiam non recipit,

    Caes. B. G. 7, 26:

    casus recipere (res),

    to admit, be liable to, id. B. C. 1, 78; so,

    aliquem casum (res),

    id. ib. 3, 51:

    re jam non ultra recipiente cunctationem,

    Liv. 29, 24; Vell. 2, 52, 3:

    sed hoc distinctionem recipit,

    Just. Inst. 1, 12 pr.:

    si recipiatur poëtica fabulositas,

    Plin. 7, 28, 29, § 101:

    in hoc genere prorsus recipio hanc brevem annotationem,

    Quint. 10, 7, 31; cf. id. 8, 3, 31:

    nos necessarios maxime atque in usum receptos (tropos) exequemur,

    id. 8, 6, 2; cf. id. 8, 6, 32; 5, 11, 20; 11, 3, 104; so with a subj.-clause, id. 1, 3, 14; 6, 3, 103; Plin. 28, 2, 5, § 24 al.—
    (β).
    Of opinions, etc., to adopt, embrace (late Lat.):

    alicujus sententiam,

    Sulp. Sev. Chron. 2, 39, 1:

    opinionem,

    id. Dial. 1, 17, 5.—
    2.
    In partic.
    a.
    To take upon one ' s self, undertake, accept the performance of a task consigned or intrusted to one (whereas suscipio denotes, in gen., the voluntary undertaking of any action; cf.:

    spondeo, stipulor, polliceor): recepi causam Siciliae... ego tamen hoc onere suscepto et receptā causā Siciliensi amplexus animo sum aliquanto amplius. Suscepi enim causam totius ordinis, etc.,

    Cic. Verr. 2, 2, 1, § 1:

    in hoc judicio mihi Siculorum causam receptam, populi Romani susceptam esse videor,

    id. Div. in Caecil. 8, 26; and:

    in quo est illa magna offensio vel neglegentiae susceptis rebus vel perfidiae receptis,

    id. de Or. 2, 24, 101; cf. also Quint. 12, 1, 39:

    verebamini, ne non id facerem, quod recepissem semel?

    Ter. Phorm. 5, 7, 9:

    causam Sex. Roscii,

    Cic. Rosc. Am. 1, 2:

    mandatum,

    id. ib. 38, 112:

    officium,

    id. Verr. 2, 5, 71, § 183:

    curam ad se,

    Suet. Tit. 6.—
    b.
    To take an obligation upon one ' s self, to pledge one ' s self, pass one ' s word, be surety for a thing, to warrant, promise, engage a thing to any one, = anadechomai (a favorite word of Cic., esp. in his Epistles): Pe. Tute unus si recipere hoc ad te dicis... Pa. Dico et recipio Ad me, Plaut. Mil. 2, 2, 74; cf.:

    ad me recipio: Faciet,

    Ter. Heaut. 5, 5, 12:

    promitto in meque recipio, fore eum, etc.,

    Cic. Fam. 13, 10, 3; cf.:

    spondeo in meque recipio eos esse, etc.,

    id. ib. 13, 17, 3.—With obj.-clause:

    promitto, recipio, spondeo, C. Caesarem talem semper fore civem, qualis hodie sit,

    Cic. Phil. 5, 18, 51; so with hoc, id. Fam. 13, 50, 2 (with spondeo); 6, 12, 3; 13, 41, 2 (with confirmo); id. Att. 5, 13, 2; Caecin. ap. Cic. Fam. 6, 7, 4; Liv. 7, 14 Drak.; 33, 13 fin.:

    pro Cassio et te, si quid me velitis recipere, recipiam,

    Cic. Fam. 11, 1, 4. — With de:

    de aestate polliceris vel potius recipis,

    Cic. Att. 13, 1, 2; Liv. 40, 35; cf.

    also: sed fidem recepisse sibi et ipsum et Appium de me,

    had given him a solemn assurance, Cic. Att. 2, 22, 2.— With dat. (after the analogy of promitto, polliceor, spondeo):

    ea, quae tibi promitto ac recipio,

    Cic. Fam. 5, 8, 5; cf.: omnia ei et petenti recepi et ultro pollicitus sum, Planc. ap. Cic. Fam. 10, 21, 1; 7, 1:

    mihi,

    id. ib. 10, 13, 3; Caes. B. C. 3, 82 fin.:

    quid sibi is de me recepisset, in memoriam redegit,

    Cic. Fam. 1, 9, 9.—With dat. and obj.-clause:

    mihi in Cumano diligentissime se, ut annui essemus, defensurum receperat,

    Cic. Att. 5, 17, 5;

    so,

    id. Fam. 6, 12, 3 Manut. (with confirmare); 13, 72, 1; Planc. ap. Cic. Fam. 10, 17, 1; Caes. B. C. 3, 17; Suet. Caes. 23 fin.
    c.
    In jurid. lang.: recipere nomen, of the prætor, to receive or entertain a charge against one, Cic. Verr. 2, 2, 38, § 94; 2, 2, 42, § 102; Cael. ap. Cic. Fam. 8, 8, 2; Val. Max. 3, 7, 9;

    for which: recipere reum,

    Tac. A. 2, 74 fin.; 4, 21:

    aliquem inter reos,

    id. ib. 3, 70; 13, 10. —Hence,
    A.
    rĕceptus, a, um, P. a. (acc. to II. B. 1.), received, usual, current, customary (post-class. and very rare):

    auctoritas receptior,

    Tert. adv. Marc. 4, 5: scriptores receptissimi, Sol. praef.—
    B.
    rĕceptum, i, n. subst. (acc. to II. B. 2. b.), an engagement, obligation, guaranty:

    satis est factum Siculis, satis promisso nostro ac recepto,

    Cic. Verr. 2, 5, 53, § 139; cf.:

    promissum et receptum intervertit,

    id. Phil. 2, 32, 79.

    Lewis & Short latin dictionary > recipio

  • 4 recipio

    recipio, cēpī, ceptum, ere (re u. capio), I) zurücknehmen, A) = zurückziehen, -holen, -bringen u. dgl., 1) eig.: a) lebl. Obj.: ensem, wieder herausziehen, Verg.: u. so sagittam ex altera parte, Cels. – spiritum, zurück-, einziehen, Quint. – ad limina gressum, sich zurückbegeben zu usw., Verg. – b) persönl. Objj.: alqm medio ex hoste, zurück, herausholen, Verg. Aen. 6, 111. – bes. als milit. t. t., Truppen zurückziehen, zurückgehen lassen, milites defessos, Caes.: exercitum, Liv.: equitatum navibus ad se intra munitiones, Caes. – u. refl., se recipere u. (bei Enn. u. Plaut.) bl. recipere, sich zurückziehen, sich zurück-, nach Hause usw. begeben, zurückkehren, zurückgehen, zurückweichen (Ggstz. procedere), sowohl übh., Plaut. u. Cic.: se ex alqo loco, Plaut. u. Cic.: se ad alqm, Plaut. u. Cic.: se a pabulo in stabulum (v. Rindvieh), Plaut.: se a cena in lecticulam, Suet.: se domum, Plaut. u. Caes.: r. in portum, Plaut.; insbes. als milit. t. t., se hinc, se inde, se ex alqo loco, se ad od. in alqm locum, se alqo ad alqm, Caes., Liv. u.a.: se sub murum, Caes.: se intra munitiones, Caes.: recipi inter principia legionum, Veget. mil. – 2) übtr.: a) übh.: vocem ab acutissimo sono usque ad gravissimum sonum, Cic. – refl., se rec., sich zurückziehen, -wenden, se ad ingenium vetus suum, Plaut.: se ad bonam frugem, Cic.: se ad reliquam cogitationem belli, Caes.: se a voluptatibus in otium, Plin. pan.: se in principem, wieder die Herrenmiene (stolze Fürstenmiene) annehmen, Plin. pan. – b) als t. t. der Geschäftssprache, etw. beim Verkaufe usw. zurückbehalten = sich vorbehalten (vgl. Gell. 17, 6, 6), posticulum, Plaut.: ruta caesa, Cic.: recipitur mit folg. Infin., pascere, Cato: mit Dat., sibi alqd, Cic.: aqua domini usioni recipitur, Cato. – c) aus der Hand, -Gewalt des Feindes gleichs. zurückführen, -holen, retten, befreien, alqm ex hostibus, ex servitute, Liv.: recepti aliquot cives sociique, qui in hostium potestate fuerant, Liv.: corpus saeva de morte receptum, Val. Flacc.

    B) zurücknehmen = wiedernehmen, zurückbekommen, -erhalten, wieder bekommen, -erhalten (Ggstz. dare, credere, tradere, perdere, amitiere), 1) eig.: r. merita (Ggstz. dare m.), Cic.: quod recipis (Ggstz. quod [mutuum] das), Mart.: r. centum talenta (Ggstz. credere c. t.). Quint.: r. arma (Ggstz. tradere a.), Liv.: r. obsides, Caes.: quem moriturum miserat militem victorem recipit, Vell.: totidem, quot dixit, verba recepit (durchs Echo), Ov. – u. so durch Vertrag, Übergabe, Eroberung wiedererlangen, wieder an sich bringen (vgl. Fabri Liv. 23, 11, 7), r. Tarentum (Ggstz. Tarentum perdere, amittere), Cic.: quasdam civitates extra Macedoniam, Liv.: suas res amissas, Liv. – und Weggelegtes wieder an sich nehmen, wieder aufnehmen, r. arma (Ggstz. deponere), Curt. – u. wieder im Staate aufnehmen, reges, Liv.: Ciceronem (Ggstz. expellere C.), Vell. – 2) übtr., wieder bekommen, wieder zu etwas kommen, antiquam frequentiam (v. einer Stadt), Liv.: vitam herbis fortibus, Ov. – vires corporis, Curt.: anhelitum, wieder Atem schöpfen, -holen, Plaut.: recipere animam, Ter. u. Quint.: spiritum, Flor.: paulatim spiritum ac vocem, Curt.: u. r. animum, teils physisch zur Besinnung kommen, von Ohnmächtigen (Ggstz. linqui animo), teils u. gew. geistig, r. animum (animos), wieder Mut bekommen, sich erholen, a od. ex pavore, Liv. – refl. se rec., sich erholen sowohl körperl., se difficulter, v. Tieren, Varro r. r. 2, 5, 17, als bes. geistig, vom Staunen, Schreck usw. sich erholen, sich sammeln, Cic. u.a.: se ex terrore, ex timore, ex fuga, Caes.: nondum totā me mente recepi, Ov.

    II) etw. entgegennehmen, aufnehmen, an sich nehmen, 1) eig.: a) übh. an od. in sich aufnehmen, recepi litteras tuas, habe entgegengenommen (= empfangen), Plin. ep. – ferrum, gladium, das Mordwerkzeug in die Brust aufnehmen, den Todesstreich empfangen (als t. t. der Fechtersprache), Cic. und Sen. (s. Gronov Sen. ep. 7, 5): u. so totum telum corpore, Cic.: ense recepto, Lucan.: und ähnlich necesse erat ab latere aperto tela recipi, man von den G. getroffen wurde, Caes. – receptus intra os (in den Mund genommen) sedat sitim (v. einem Steine), Solin.: u. so intra os receptus liquescit, Solin. – v. Tieren, frenum, den Z. annehmen, sich gefallen lassen, Hor. ep. 1, 10, 36. – v. Gewässern, fluvium (v. Meere), Plaut.: Mosa parte quadam ex Rheno recepta, quae etc., sich vereinigend mit einem Teile des Rh., der usw., Caes. – v. Arzneimitteln, die und die Stoffe in sich aufnehmen, mit dem und dem versetzt werden, tantum mellis, quantum etc., Scrib. Larg. – v. Wunden, vulnera cicatricem vix recipiunt, setzen an, Cels. 4, 16 (9). – b) bei sich, in eine Örtl. aufnehmen (Ggstz. alqm excludere), α) m. bl. Acc., von Pers., Xerxen, Cic.: alqm libentissimo animo, Caes. – v. Örtl., perterritos (von Schanzen), Caes.: hos (v. Hafen), Caes.: nisi nos vicina villa recepisset, Hor. – β) m. ad u. Akk.: alqm ad se, Komik. u. Suet.: alqm ad epulas, Cic. – γ) m. in u. Akk.: alqm in aedes, Plaut.: alqm in civitatem, Cic. – im Passiv m. in u. Abl., recipi in loco, Plaut.: in equis, Auct. b. Hisp.: in parte tori recepta, Ov. – δ) m. inter u. Akk.: alqm inter suos, Curt. 4, 6 (27), 15. – ε) mit intra u. Akk., quos intra Syracusanam insulam recepit, Cic. Verr. 4, 144. – ζ) m. bl. Abl.: alqm tecto, Caes., tectis ac sedibus suis, Cic.: moenibus, Sall.: receptus terrā Neptunus, Hor.: recipi equis, auf die Pf. genommen werden, Auct. b. Hisp. 4, 2: eo (sc. myoparone) receptus, an Bord genommen, Auct. b. Alex. 46, 7. – η) m. Orts-Acc.: alqm Acheruntem, Plaut.: alqm domum suam, Cic., domum ad se hospitio, Caes. – θ) mit 1. Supin.: senem sessum, Cic. de sen. 63: intra ianuam comisatum fratrem, Liv. 40, 10, 4. – ι) absol.: qui receperant, Caes. b. c. 1, 76, 4: u. bl. recipi, an Bord genommen werden, Caes. b. c. 2, 44, 1 (vgl. oben no. ζ). – c) in Besitz nehmen, erobern, oppidum, civitatem, Caes.: rem publicam armis, Sall.: Rhodum, Aegyptum Ciliciamque sine certamine, Iustin.: Alciden terra recepta vocat, die eroberte, errungene E., Prop. – d) als t. t. der Geschäftsspr., irgendeinen Ertrag von etwas einnehmen, erhalten, dena milia Hs ex molle, Varro: pecuniam ex novis vectigalibus, Cic. – 2) übtr.: a) übh. aufnehmen, auf sich nehmen, ista dicta in aures, Plaut.: iusiurandum oblatum, Quint.: r. in se religionem, auf sich laden, Liv. – b) in einen Stand, Verhältnis usw. aufnehmen, alqm in ordinem senatorium, Cic.: alqm in numerum deorum od. amicorum, Curt.: alqm in fidem, Cic. u.a.; vgl. recepti (sc. in fidem) Cherusci, Vell.: r. alqm in deditionem, Caes. u.a., in ius dicionemque, Liv.: alqm in parem iuris libertatisque condicionem, Caes.: alqm in id fastigium, zu dieser Würde zulassen, Curt.: alqm in amcitiam, Sall.: Cyri filiam in matrimonium, Iustin. – alqd in mores, Quint.: in usum recepti (tropi), in den Gebrauch aufgenommene, gebräuchliche, Quint.: u. so sequi maxime recepta, sich nach dem Gebräuchlichsten richten, Quint. – tres recepti scriptores iamborum, in den Kanon (unter die Klassiker) aufgenommene, Quint. 10, 1, 59. – c) annehmen, gestatten, gutheißen, zulassen (Ggstz. respuere, aspernari u. dgl.), antiquitas recepit fabulas, haec aetas autem respuit, Cic.: assentatio nocere nemini potest, nisi ei, qui eam recipit atque eā delectatur, Cic.: nullam excusationem receperunt, Sen. – v. lebl. Subjj., nec inconstantiam virtus recipit nec varietatem natura patitur, Cic.: timor misericordiam non recipit Caes.: re iam non ultra recipiente cunctationem, Liv.: plures rem posse casus recipere, Caes. – d) eine angebotene, übertragene Tätigkeit auf sich nehmen, annehmen (dagegen suscipere übh. eine Tätigkeit übernehmen; vgl. Ellendt Cic. de or. 2, 101), ego in hoc iudicio mihi Siculorum causam receptam, populi Romani susceptam esse arbitror,Cic.: u. so r. mandatum, r. officium, Cic.: curam prope omnium officiorum ad se, Suet. – e) irgendeine Verpflichtung auf sich nehmen, sich zu etw. verpflichten, sich anheischigmachen, etwas verbürgen (garantieren), einem etwas versprechen, zusagen (auch, analog dem promitto, m. Dat. pers.), r. hoc ad te, Plaut.: ea quae tibi promitto ac recipio, Cic.: omnia ei et petenti recepi et ultro pollicitus sum, Planc. in Cic. ep. – m. folg. Acc. u. Infin., facturum, quod milites vellent, se recepit, Liv.: mihi se defensurum receperat, Cic.: promitto in meque recipio, fore eum tibi et voluptati et usui, Cic.: spondeo in meque recipio, eos esse M'. Curii mores, Cic.: promitto, recipio, spondeo, C. Caesarem talem semper fore civem, qualis hodie sit, Cic. – m. pro u. Abl., pro Cassio, si quid me velitis, recipiam, Cic. – m. de u. Abl., de aestate polliceris vel potius recipis, Cic.: neque de fide barbarorum quicquam recipere aut affirmare potes, Liv.: fidem recepisse sibi et ipsum et Appium de me, haben ihm die heilige Versicherung gegeben, Cic.: quid sibi is de me recepisset, Cic. – absol., ad me recipio, ich nehme es auf mich, Ter. heaut. 1056: u. so bl. recipio, Plaut. mil. 230. – Partiz. subst., receptum, ī, n., die übernommene Verpflichtung, die Garantie, verb. promissum et receptum, Cic. Phil. 2, 79: promissum nostrum ac receptum, Cic. Verr. 5, 139. – f) als jurist. t. t. r. nomen, vom Prätor, die Klage gegen jmd. annehmen, zulassen (Ggstz. deferre nomen, vom Kläger), r. nomen, Cic., nomina (mehrerer), Liv.: u. dafür nachaug. r. cognitionem, Plin. ep., cognitionem falsi testamenti, die Klage wegen f. T. Suet.: reum, Tac.: alqm inter reos, Tac. – / Apok. Futur. recipie (= recipiam), Cato bei Fest. 286 (b), 21: archaist. Fut. exact. recepso, Catull. 44, 19.

    lateinisch-deutsches > recipio

  • 5 recipio

    recipio, cēpī, ceptum, ere (re u. capio), I) zurücknehmen, A) = zurückziehen, -holen, -bringen u. dgl., 1) eig.: a) lebl. Obj.: ensem, wieder herausziehen, Verg.: u. so sagittam ex altera parte, Cels. – spiritum, zurück-, einziehen, Quint. – ad limina gressum, sich zurückbegeben zu usw., Verg. – b) persönl. Objj.: alqm medio ex hoste, zurück, herausholen, Verg. Aen. 6, 111. – bes. als milit. t. t., Truppen zurückziehen, zurückgehen lassen, milites defessos, Caes.: exercitum, Liv.: equitatum navibus ad se intra munitiones, Caes. – u. refl., se recipere u. (bei Enn. u. Plaut.) bl. recipere, sich zurückziehen, sich zurück-, nach Hause usw. begeben, zurückkehren, zurückgehen, zurückweichen (Ggstz. procedere), sowohl übh., Plaut. u. Cic.: se ex alqo loco, Plaut. u. Cic.: se ad alqm, Plaut. u. Cic.: se a pabulo in stabulum (v. Rindvieh), Plaut.: se a cena in lecticulam, Suet.: se domum, Plaut. u. Caes.: r. in portum, Plaut.; insbes. als milit. t. t., se hinc, se inde, se ex alqo loco, se ad od. in alqm locum, se alqo ad alqm, Caes., Liv. u.a.: se sub murum, Caes.: se intra munitiones, Caes.: recipi inter principia legionum, Veget. mil. – 2) übtr.: a) übh.: vocem ab acutissimo sono usque ad gravissimum sonum, Cic. – refl., se rec., sich zurückziehen, - wenden, se ad ingenium vetus suum, Plaut.: se ad bonam frugem, Cic.: se ad reliquam cogitationem
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    belli, Caes.: se a voluptatibus in otium, Plin. pan.: se in principem, wieder die Herrenmiene (stolze Fürstenmiene) annehmen, Plin. pan. – b) als t. t. der Geschäftssprache, etw. beim Verkaufe usw. zurückbehalten = sich vorbehalten (vgl. Gell. 17, 6, 6), posticulum, Plaut.: ruta caesa, Cic.: recipitur mit folg. Infin., pascere, Cato: mit Dat., sibi alqd, Cic.: aqua domini usioni recipitur, Cato. – c) aus der Hand, - Gewalt des Feindes gleichs. zurückführen, -holen, retten, befreien, alqm ex hostibus, ex servitute, Liv.: recepti aliquot cives sociique, qui in hostium potestate fuerant, Liv.: corpus saeva de morte receptum, Val. Flacc.
    B) zurücknehmen = wiedernehmen, zurückbekommen, -erhalten, wieder bekommen, -erhalten (Ggstz. dare, credere, tradere, perdere, amitiere), 1) eig.: r. merita (Ggstz. dare m.), Cic.: quod recipis (Ggstz. quod [mutuum] das), Mart.: r. centum talenta (Ggstz. credere c. t.). Quint.: r. arma (Ggstz. tradere a.), Liv.: r. obsides, Caes.: quem moriturum miserat militem victorem recipit, Vell.: totidem, quot dixit, verba recepit (durchs Echo), Ov. – u. so durch Vertrag, Übergabe, Eroberung wiedererlangen, wieder an sich bringen (vgl. Fabri Liv. 23, 11, 7), r. Tarentum (Ggstz. Tarentum perdere, amittere), Cic.: quasdam civitates extra Macedoniam, Liv.: suas res amissas, Liv. – und Weggelegtes wieder an sich nehmen,
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    wieder aufnehmen, r. arma (Ggstz. deponere), Curt. – u. wieder im Staate aufnehmen, reges, Liv.: Ciceronem (Ggstz. expellere C.), Vell. – 2) übtr., wieder bekommen, wieder zu etwas kommen, antiquam frequentiam (v. einer Stadt), Liv.: vitam herbis fortibus, Ov. – vires corporis, Curt.: anhelitum, wieder Atem schöpfen, -holen, Plaut.: recipere animam, Ter. u. Quint.: spiritum, Flor.: paulatim spiritum ac vocem, Curt.: u. r. animum, teils physisch zur Besinnung kommen, von Ohnmächtigen (Ggstz. linqui animo), teils u. gew. geistig, r. animum (animos), wieder Mut bekommen, sich erholen, a od. ex pavore, Liv. – refl. se rec., sich erholen sowohl körperl., se difficulter, v. Tieren, Varro r. r. 2, 5, 17, als bes. geistig, vom Staunen, Schreck usw. sich erholen, sich sammeln, Cic. u.a.: se ex terrore, ex timore, ex fuga, Caes.: nondum totā me mente recepi, Ov.
    II) etw. entgegennehmen, aufnehmen, an sich nehmen, 1) eig.: a) übh. an od. in sich aufnehmen, recepi litteras tuas, habe entgegengenommen (= empfangen), Plin. ep. – ferrum, gladium, das Mordwerkzeug in die Brust aufnehmen, den Todesstreich empfangen (als t. t. der Fechtersprache), Cic. und Sen. (s. Gronov Sen. ep. 7, 5): u. so totum telum corpore, Cic.: ense recepto, Lucan.: und ähnlich necesse erat ab latere aperto tela recipi, man von den G. getroffen wurde, Caes. – receptus intra os (in den Mund
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    genommen) sedat sitim (v. einem Steine), Solin.: u. so intra os receptus liquescit, Solin. – v. Tieren, frenum, den Z. annehmen, sich gefallen lassen, Hor. ep. 1, 10, 36. – v. Gewässern, fluvium (v. Meere), Plaut.: Mosa parte quadam ex Rheno recepta, quae etc., sich vereinigend mit einem Teile des Rh., der usw., Caes. – v. Arzneimitteln, die und die Stoffe in sich aufnehmen, mit dem und dem versetzt werden, tantum mellis, quantum etc., Scrib. Larg. – v. Wunden, vulnera cicatricem vix recipiunt, setzen an, Cels. 4, 16 (9). – b) bei sich, in eine Örtl. aufnehmen (Ggstz. alqm excludere), α) m. bl. Acc., von Pers., Xerxen, Cic.: alqm libentissimo animo, Caes. – v. Örtl., perterritos (von Schanzen), Caes.: hos (v. Hafen), Caes.: nisi nos vicina villa recepisset, Hor. – β) m. ad u. Akk.: alqm ad se, Komik. u. Suet.: alqm ad epulas, Cic. – γ) m. in u. Akk.: alqm in aedes, Plaut.: alqm in civitatem, Cic. – im Passiv m. in u. Abl., recipi in loco, Plaut.: in equis, Auct. b. Hisp.: in parte tori recepta, Ov. – δ) m. inter u. Akk.: alqm inter suos, Curt. 4, 6 (27), 15. – ε) mit intra u. Akk., quos intra Syracusanam insulam recepit, Cic. Verr. 4, 144. – ζ) m. bl. Abl.: alqm tecto, Caes., tectis ac sedibus suis, Cic.: moenibus, Sall.: receptus terrā Neptunus, Hor.: recipi equis, auf die Pf. genommen werden, Auct. b. Hisp. 4, 2: eo (sc. myoparone) receptus, an Bord genommen, Auct. b. Alex. 46, 7. – η) m.
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    Orts-Acc.: alqm Acheruntem, Plaut.: alqm domum suam, Cic., domum ad se hospitio, Caes. – θ) mit 1. Supin.: senem sessum, Cic. de sen. 63: intra ianuam comisatum fratrem, Liv. 40, 10, 4. – ι) absol.: qui receperant, Caes. b. c. 1, 76, 4: u. bl. recipi, an Bord genommen werden, Caes. b. c. 2, 44, 1 (vgl. oben no. ζ). – c) in Besitz nehmen, erobern, oppidum, civitatem, Caes.: rem publicam armis, Sall.: Rhodum, Aegyptum Ciliciamque sine certamine, Iustin.: Alciden terra recepta vocat, die eroberte, errungene E., Prop. – d) als t. t. der Geschäftsspr., irgendeinen Ertrag von etwas einnehmen, erhalten, dena milia Hs ex molle, Varro: pecuniam ex novis vectigalibus, Cic. – 2) übtr.: a) übh. aufnehmen, auf sich nehmen, ista dicta in aures, Plaut.: iusiurandum oblatum, Quint.: r. in se religionem, auf sich laden, Liv. – b) in einen Stand, Verhältnis usw. aufnehmen, alqm in ordinem senatorium, Cic.: alqm in numerum deorum od. amicorum, Curt.: alqm in fidem, Cic. u.a.; vgl. recepti (sc. in fidem) Cherusci, Vell.: r. alqm in deditionem, Caes. u.a., in ius dicionemque, Liv.: alqm in parem iuris libertatisque condicionem, Caes.: alqm in id fastigium, zu dieser Würde zulassen, Curt.: alqm in amcitiam, Sall.: Cyri filiam in matrimonium, Iustin. – alqd in mores, Quint.: in usum recepti (tropi), in den Gebrauch aufgenommene, gebräuchliche, Quint.: u. so sequi maxime recepta, sich nach dem
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    Gebräuchlichsten richten, Quint. – tres recepti scriptores iamborum, in den Kanon (unter die Klassiker) aufgenommene, Quint. 10, 1, 59. – c) annehmen, gestatten, gutheißen, zulassen (Ggstz. respuere, aspernari u. dgl.), antiquitas recepit fabulas, haec aetas autem respuit, Cic.: assentatio nocere nemini potest, nisi ei, qui eam recipit atque eā delectatur, Cic.: nullam excusationem receperunt, Sen. – v. lebl. Subjj., nec inconstantiam virtus recipit nec varietatem natura patitur, Cic.: timor misericordiam non recipit Caes.: re iam non ultra recipiente cunctationem, Liv.: plures rem posse casus recipere, Caes. – d) eine angebotene, übertragene Tätigkeit auf sich nehmen, annehmen (dagegen suscipere übh. eine Tätigkeit übernehmen; vgl. Ellendt Cic. de or. 2, 101), ego in hoc iudicio mihi Siculorum causam receptam, populi Romani susceptam esse arbitror,Cic.: u. so r. mandatum, r. officium, Cic.: curam prope omnium officiorum ad se, Suet. – e) irgendeine Verpflichtung auf sich nehmen, sich zu etw. verpflichten, sich anheischigmachen, etwas verbürgen (garantieren), einem etwas versprechen, zusagen (auch, analog dem promitto, m. Dat. pers.), r. hoc ad te, Plaut.: ea quae tibi promitto ac recipio, Cic.: omnia ei et petenti recepi et ultro pollicitus sum, Planc. in Cic. ep. – m. folg. Acc. u. Infin., facturum, quod milites vellent, se recepit, Liv.: mihi se defensurum receperat, Cic.: promitto in
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    meque recipio, fore eum tibi et voluptati et usui, Cic.: spondeo in meque recipio, eos esse M'. Curii mores, Cic.: promitto, recipio, spondeo, C. Caesarem talem semper fore civem, qualis hodie sit, Cic. – m. pro u. Abl., pro Cassio, si quid me velitis, recipiam, Cic. – m. de u. Abl., de aestate polliceris vel potius recipis, Cic.: neque de fide barbarorum quicquam recipere aut affirmare potes, Liv.: fidem recepisse sibi et ipsum et Appium de me, haben ihm die heilige Versicherung gegeben, Cic.: quid sibi is de me recepisset, Cic. – absol., ad me recipio, ich nehme es auf mich, Ter. heaut. 1056: u. so bl. recipio, Plaut. mil. 230. – Partiz. subst., receptum, ī, n., die übernommene Verpflichtung, die Garantie, verb. promissum et receptum, Cic. Phil. 2, 79: promissum nostrum ac receptum, Cic. Verr. 5, 139. – f) als jurist. t. t. r. nomen, vom Prätor, die Klage gegen jmd. annehmen, zulassen (Ggstz. deferre nomen, vom Kläger), r. nomen, Cic., nomina (mehrerer), Liv.: u. dafür nachaug. r. cognitionem, Plin. ep., cognitionem falsi testamenti, die Klage wegen f. T. Suet.: reum, Tac.: alqm inter reos, Tac. – Apok. Futur. recipie (= recipiam), Cato bei Fest. 286 (b), 21: archaist. Fut. exact. recepso, Catull. 44, 19.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > recipio

  • 6 recipiō

        recipiō cēpī (recepsō for recēperō, Ct.), ceptus, ere    [re+capio].    I. To take back, bring back, carry back, retake, get back, regain, recover: dandis recipiendisque meritis, by an exchange of services: si velit suos recipere, obsides sibi remittat, Cs.: reges, L.: canam, recepto Caesare felix, H.: Tarentum, recaptured: praeda recepta est, L.: Pectore in adverso ensem Condidit, et recepit, drew out again, V.: suos omnīs incolumes (sc. ex oppido in castra), withdraw, Cs.: cohortes defessos, Cs.: Illum medio ex hoste, rescue, V.—With pron reflex., to draw back, withdraw, betake oneself, retire, retreat, escape: se ex hisce locis: se ex fugā, Cs.: se recipiendi spatium, L.: se ad Caesarem, Cs.: ex castris in oppidum sese, Cs.: rursus se ad signa, Cs.: se in novissimos, L.: sub murum se, Cs.: eo se, Cs.: Neque sepulcrum quo recipiat habeat, portum corporis (sc. se), Enn. ap. C.—Fig., to bring back: (vocem) ab acutissimo sono usque ad gravissimum sonum.— To get back, receive again, regain, recover, repossess: antiquam frequentiam recipere urbem pati, L.: et totidem, quot dixit, verba recepit, got back, O.: quam (vitam) postquam recepi, recovered, O.: animam, T.: a pavore recepto animo, L.: voltumque animumque, O.: mente receptā, H.—With pron reflex., to betake oneself, withdraw, retire: ad frugem bonam: ad reliquam cogitationem belli, Cs.— To recover, collect oneself, resume self-possession: ut me recepi: nullum spatium recipiendi se dedit, L.: se ex terrore, Cs.: totā me mente, O.—    II. To take to oneself, take in, admit, accept, receive, welcome: Excludor, ille recipitur, T.: Xerxem, await the attack of: hos tutissimus portus recipiebat, Cs.: Mosa ex Rheno recepta insulam efficit, Cs.: equus frenum recepit, submitted to, H.: Hominem amicum ad te, T.: hominem ad epulas: gentes in civitatem receptae: deorum in templa, H.: Ilergetes in ius dicionemque, L.: reges in amicitiam, S.: sidera in caelo recepta, O.: tecto recipi, Cs.: illum suis urbibus: oppido ac portu recepti, Cs.: legatos moenibus, S.: eum domum suam: ut domum ad se quisque hospitio reciperet, Cs.—Of money or income, to take in, receive, collect, acquire, gain: pecuniam ex novis vectigalibus: pecunia, quae recipi potest.—Of weapons or fetters, to submit to, accept, receive, expose oneself to: necesse erat ab latere aperto tela recipi, Cs.: ferrum: donec (equus) frenum recepit, H.—Of places, to seize, capture, take, possess, occupy: Praeneste per deditionem, L.: oppido recepto, Cs.: rem p. armis, S. —Fig., to take upon oneself, assume, receive, accept, admit, allow: in semet ipsum religionem, to burden himself with, L.: antiquitas recepit fabulas: nec inconstantiam virtus recipit: timor misericordiam non recipit, Cs.: casūs recipere (res), be liable to, Cs.: re iam non ultra recipiente cunctationem, L. — To take up, undertake, accept, assume: causam Siciliae: id facere, quod recepissem, T.: officium. — To assume an obligation, pledge oneself, take the responsibility, be surety for, warrant, promise, engage: ad me recipio; Faciet, T.: promitto in meque recipio, fore eum, etc.: promitto, recipio, spondeo, Caesarem talem semper fore, etc.: facturum, quod milites vellent, se recepit, L.: fidem recepisse sibi et ipsum et Appium de me, had given him a solemn assurance: ea, quae tibi promitto ac recipio: mihi in Cumano se defensurum, etc.: postulabat ut... id ipsi fore reciperent, Cs.—Of a magistrate, with nomen, to entertain a charge against, enter as an accused person, indict: nomen absentis: appellantibus nemo erat auxilio, quin nomina reciperentur, L.
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    recipere, recepi, receptus V
    keep back; recover; undertake; guarantee; accept, take in; take back

    Latin-English dictionary > recipiō

  • 7 leiden

    leiden, I) ein Übel mit Schmerzen empfinden: pati. – perpeti (mit Ausdauer l.). – ferre. tolerare (ertragen, aushalten, s. »ertragen« den genauern Untersch.). – affectum esse alqā re (van etwas betroffen, -heimgesucht sein). – premi alqā re (von etwas gedrückt, bedrängt werden, z.B. inopiā). – laborare alqā re (Not haben durch etw., z.B. fame, magnā inopiā). – etw. l. können, alcis rei patientem esse; alqd facile tolerare. – Ost steht »leiden« auch elliptisch, z.B. der Kranke leidet viel (Schmerzen), aegrotus magnos dolores patitur od. magnis doloribus cruciatur. – an etwas l., s. an etwas »krank« sein, mit etw. »behaftet« sein.

    Dah. ist »leiden« in weit. Bed. ohne den Nbbgr. des Schmerzes: a) in Verbindung mit »können« = ertragen, vertragen übh.: pati; ferre; tolerare. – so heiß, als man es l. kann, quam maxime calidum alqs pati potest. – jmd. nicht l. können, ab alqo animo esse alieno od. averso (ihm abgeneigt sein); alqm odisse. odium habere oder gerere in alqm (ihn hassen); alci esse infensum atque ini. micum (eine feindselige Stimmung gegen ihn hegen); alqs alci odio od. in odio est, alci invisus est (einer ist jmdm. verhaßt): etwas nicht l. können, alienum esse, abhorrere ab alqa re (ihm abgeneigt sein); alqd odisse (etw. hassen); alqd mihi odio od. in odio est (es ist mir etw. verhaßt); offendi alqā re, od. »daß« etc., durch folg. Akk. u. Infin. (über etw. unwillig werden): etw. gar nicht l. können, alqd alci magno odio od. magno in odio est. – bei jmd, wohl gelitten sein, alci probari (probatum esse); alci od. apud alqm esse gratiosum; multum gratiā valere apud alqm. – b) = geschehen lassen, dulden: pati (dulden). – sinere (nicht hindern, s. »lassen no. I, B« über die Konstr.). – ferre (ertragen). – recipere (gleichs. bei sich aufnehmen = gestatten, z.B. res dilationem oder cunctationem non recipit), – das werde ich durchaus nicht leiden, non feram, non patiar, non sinam (zus. bei Cic. Cat. 1, 10).

    II) von einem Übel betroffen werden, a) im allg.: accipere alqd (etwas erhalten). – affici alqā re (von etw. betroffen werden). – b) prägn. = Nachteil, Schaden erleiden, z.B. die Legion hat sehr gelitten, legio deminuta est; deminutus est militum numerus: die Legion [1583] hatte in dem Treffen sehr gelitten, legio vehementer proelio erat attenuata: der Staat hat in diesem Kriege viel gelitten, hoc bellum rei publicae erat calamitosissimum: diese Stadt hat durch viele Kriege sehr gelitten, huius urbis opes frequentibus bellis attritae sunt: durch den Sturm haben die Schiffe gelitten, tempestas naves afflictavit: die Gegend hat nicht von den Feinden gelitten, regio intacta est ab hostibus: seine Ehre leidet darunter, eius existimatio in ea re agitur.

    deutsch-lateinisches > leiden

  • 8 zulassen

    zulassen, I) verschlossen lassen: clausum tenere. – non aperire (nicht öffnen). – II) den Zugang gestatten, s. einlassen. – jmd. zu einem Amt, einer Stelle z., alqm admittere ad honorem. – III) geschehen lassen: admittere. permittere (geschehen lassen, nicht verbieten). concedere (zugestehen). – sinere (lassen, nicht hindern). – pati alqd fieri u. bl. pati (dulden, daß etwas geschehe, z.B. leges publicae non patiuntur). – patientem esse alcis rei (etwas ertragen, vertragen können, z.B. ubi primum aetas militiae patiens fuit). – recipere (gleichs. aufnehmen = gestatten) v. Umständen etc., z.B. discrimen: u. res cunctationem od. dilationem non recipit). – habere (gleichs. an sich haben als Möglichkeit, v. Lebl., z.B. defensionem: u. dubitationem: u. aliquam comparationem). – auch licet (es ist gestattet, z.B. soweit es die Gesetze zulassen, quoad per leges liceat: der Vertrag hat das nicht zugelassen, non licuit per foedus fieri) – durch sein Verschulden z., daß etc., committere, ut etc.: es gern, ganz gern z., daß etc., aequo (aequissimo) animo oder facile pati mit Akk. u. Infin.

    deutsch-lateinisches > zulassen

  • 9 Zaudern [2]

    Zaudern, das, cunctatio (die Unentschlossenheit). – cessatio (das Säumen). – tergiversatio (das Ausflüchtemachen). – dubitatio (das Schwanken im Entschlusse). – haesitatio (das Verlegensein). – mora (Verzug). – mit Z., cunctanter: ohne Z., sine mora; propere. festinanter (eilends, w. s.). – hier hilft kein Z. mehr, res iam non ultra recipit cunctationem.

    deutsch-lateinisches > Zaudern [2]

См. также в других словарях:

  • targer — Se targer, voyez apres Targer. Targer, Tardare, Demorari, Moras agitare, Moram interponere, Cunctari, voyez Tarder, en Tard. Il ne faut point targer à faire ceci, Non recipit cunctationem haec res. Au moins targe aucuns jours jusques à ce que,… …   Thresor de la langue françoyse

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